«Tab Hunter Confidential»: tout sur la vie mouvementée d’un sex-symbol au placard

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Tab Hunter, sex symbol dans les années 50, a survécu dans un Hollywood très homophobe. Un documentaire revient sur une carrière et une vie pleine de rebondissements.

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Il n’a pas eu la carrière d’un Rock Hudson ou d’un Paul Newman. Mais Tab Hunter a fait fantasmer plusieurs générations de femmes et d’hommes, depuis son apparition sur les écrans dans les années 50. Le studio Warner Bros l’avait choisi pour son look typiquement américain. Mais il ne lui offrit que peu de rôles très intéressants (si ce n’est Batlle Cry, de Raoul Walsh en 1955). AMANT DE RUDOLF NOUREEV Né en 1931 à New York d’une mère allemande, élevé à la dure à la campagne, Tab Hunter a vécu dans le placard pendant une très grande partie de sa vie, même s’il fut l’amant de personnalités très connues dont Rudolf Noureev ou l’acteur Anthony Perkins. Dans les années 80, John Waters le fait tourner avec Divine dans Polyester (le premier film en Odorama) et le public découvre ses talents comiques. Présenté le 16 mars au festival South by Southwest à Austin…

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