Joseph Morder: «La Duchesse de Varsovie, c’est aussi un hommage aux origines du cinématographe»

Publié le

Présenté en avant-première le 24 février, «La Duchesse de Varsovie» est un des films les plus ambitieux de Joseph Morder.

Article Prémium

D’origine polonaise, né dans les Antilles en 1949, Joseph Morder est un cinéaste français très prolifique avec pas moins de 1000 films à son actif. Depuis plus de 40 ans, il construit son journal filmé en super-8 et est également l’un des premiers à avoir réalisé un film entièrement tourné avec un téléphone portable (J’aimerais partager le printemps avec vous, 2007). Pour son dernier film, La Duchesse de Varsovie, il retrouve une actrice icône de la Nouvelle Vague, Alexandra Stewart (qu’il avait fait jouer dans El Cantor en 2005), grand-mère qui porte un lourd secret et Andy Gillet qui a déjà tourné avec Eric Rohmer ( Les Amours d’Astrée et de Céladon) et Zabou Breitman (L’Homme de sa vie). L’originalité de La Duchesse de Varsovie, et sa poésie, résident dans l’utilisation de décors entièrement peints (par Juliette Schwartz), d’immenses toiles d’un Paris fantasmé, tel que Joseph Morder, adolescent, le découvrait dans…

Pour continuer la lecture de cet article :

Vous avez déjà un accès ?

Identifiez-vous