Manuel Valls justifie sa volte-face sur la GPA à l’Assemblée nationale
La députée Véronique Massonneau (EELV) a également interrogé le Premier ministre sur son recul concernant la PMA.
Deux jours avant le dernier défilé de la « Manif pour tous », le Premier ministre Manuel Valls s’est confié dans La Croix en se rapprochant des positions adoptées par le mouvement homophobe. En soulignant que la date de publication de cet entretien n’était pas anodine, la députée Véronique Massonneau (EELV) a interrogé le chef du gouvernement à ce sujet ce mardi 7 octobre. « DANS LE DÉBAT, ON PEUT CHANGER D’AVIS » Elle a a rappelé que l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) constitue un engagement de campagne de François Hollande, tout comme le droit de mourir dans la dignité. Dans sa réponse, Manuel Valls s’est contenté de répéter que le gouvernement attendra l’avis du Comité consultatif national d’éthique (CCNE) sur la PMA et il a « regretté » que ce sujet soit mélangé à l’euthanasie. Mais Véronique Massonneau l’a aussi questionné sur la façon dont il a changé d’avis concernant la gestation pour autrui (GPA) : favorable…
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- France Télévisions condamné aux prud'hommes pour une affaire de harcèlement
- Football : la Concacaf déplore la « persistance » des chants homophobes dans les stades
- Soins palliatifs : « La Maison de Gardanne », fondée pendant la crise du sida, célèbre ses 30 ans
- Projets d'attentats jihado-néonazis : deux ans et demi et quatre ans de prison pour deux jeunes majeurs
- Christophe Girard contre des féministes : épilogue judiciaire en mai