«L’homophobie n’a pas sa place dans le sport», l’appel de six organisations pour lutter contre les discriminations

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Parmi les signataires de l'appel, plusieurs nageurs et nageuses comme Frédérick Bousquet, Laure Manaudou et Fabien Gilot mais aussi Romain Mesnil, Laura Flessel ou Pierre Vincent, l'ex-entraîneur des Braqueuses.

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Six organisations se sont associées pour lancer un appel intitulé « L’homophobie n’a pas sa place dans le sport » : la Fédération sportive gay et lesbienne (FSGL), SOS homophobie, le syndicat des professeurs d’éducation physique et sportive (SNEP–FSU), la Fédération sportive et gymnique du travail (FSGT), l’Anestaps, association des étudiant.e.s de Staps (sciences et techniques des activités physiques et sportives), et Femix’Sports. Signé par 50 personnalités du monde du sport, l’appel marque le lancement d’une campagne contre les LGBTphobies qui a été présentée aujourd’hui lors d’une conférence de presse : « Non, une équipe masculine d’un sport collectif n’est pas constituée de « tapettes » et de « vrais mecs ». Non, une sportive n’est pas « un garçon manqué ». Non, des joueuses de football ne devraient pas être exclues pour s’être embrassées dans leur club. Non, personne ne devrait arrêter la pratique sportive pour échapper à des insultes dans les vestiaires. Non, personne ne devrait avoir peur de prendre une douche après…

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