Être lesbienne en Algérie [Algérie-Focus]

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Algérie-Focus, «journal électronique algérien d’information généraliste, indépendant et participatif», donne la parole à 3 lesbiennes algériennes.

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Algérie-Focus, « journal électronique algérien d’information généraliste, indépendant et participatif » (lancé quelques jours avant Yagg, pour l’anecdote), donne la parole à 3 lesbiennes algériennes. D’après l’article 338 du Code pénal algérien, « tout coupable d’un acte d’homosexualité est puni d’un emprisonnement de deux mois à deux ans et d’une amende de 500 à 2000 DA [5 à 20 euros]. Si l’un des auteurs est mineur de dix-huit ans, la peine à l’égard du majeur peut être élevée jusqu’à trois ans d’emprisonnement et 10000 DA d’amende [100 euros] », rappelle l’article. Pour Ilhem, 27 ans, qui vit ouvertement en tant que lesbienne, c’est surtout la pression sociale qui est difficile à gérer. El Djazairia, 24 ans, qui a créé le premier forum LGBT algérien, le GLA (Gais & Lesbiennes Algériens), n’a pas fait son coming-out auprès de se parents : « Étant donné qu’au Maghreb nous ne quittons pas le domicile familial avant d’être mariés, je…

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