Hépatite C: un patient séropositif alerte sur les dysfonctionnements d’un stylo injecteur

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L'Agence européenne du médicament demande au laboratoire Merck de «modifier la conception du stylo».

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Contre le VHC (virus de l’hépatite C), il n’existe pas de vaccin. Et le traitement standard consiste en une bithérapie d’interféron et de ribavirine. Le traitement, qui dure plusieurs mois et est très contraignant, permet une guérison complète chez une proportion de plus en plus nombreuse de patients. Mais les chances de guérison sont moindres chez les patients co-infectés par le VHC et le VIH. « JE VEUX GUÉRIR » Xavier est gay et séropositif pour le VHC et pour le VIH. Depuis février dernier, après une première tentative infructueuse, il décide de recommencer un traitement contre le VHC. « C’est un traitement très lourd, avec de nombreux effets secondaires. Mais je veux guérir », confie-t-il à Yagg au téléphone. Chaque semaine, il s’auto-administre sa dose d’interféron pegylée (une forme plus puissante de l’interféron), grâce à ViraferonPeg, un stylo injecteur commercialisé par le laboratoire Merck. Pendant plusieurs mois, pas de problème. Puis à deux…

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