Wendy Delorme: «Ma petite musique, ma rythmique intérieure, je ne savais pas si d’autres l’entendraient aussi»

Publié le

Wendy Delorme revient avec «La Mère, la Sainte et la Putain», une histoire d'amour douloureuse où l'on retrouve ses thèmes de prédilection, le féminisme queer, la famille, celle que l'on a, mais aussi celle que l'on se construit. Interview.

Article Prémium

Après Quatrième Génération et Insurrections ! en Territoires Sexuels, Wendy Delorme revient avec La Mère, la Sainte et la Putain. Derrière cette trinité revisitée, elle raconte une histoire d’amour douloureuse où l’on retrouve fois ses thèmes de prédilection, le féminisme queer, la famille, celle que l’on a, mais aussi celle que l’on se construit. Le thème de la filiation semble faire partie de vos obsessions. À ce titre, on a l’impression que La Mère, la Sainte et la Putain se trouve dans la continuité de Quatrième Génération, est-ce que vous l’avez abordé de cette manière là ? Comment expliquez-vous ce besoin d’aborder les thèmes de l’ascendance, et maintenant de la descendance ? Tiens, c’est bien vu. Je ne l’ai pas fait intentionnellement mais oui effectivement, mon premier livre parlait de ce que l’on doit aux générations qui nous précèdent et celui-ci parle de futur et de génération à venir. J’ai été marquée par des…

Pour continuer la lecture de cet article :

Vous avez déjà un accès ?

Identifiez-vous