Louis-Georges Tin dresse le bilan de la Journée du 17 mai, un mois après

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Un mois après la journée mondiale contre l'homophobie, le fondateur du Comité Idaho, Louis-Georges Tin, répond aux questions de Yagg et revient sur les avancées initiées par le comité.

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Un mois après la Journée mondiale contre l’homophobie et la transphobie, le fondateur du Comité Idaho, Louis-Georges Tin, répond aux questions de Yagg et revient sur les avancées initiées par le comité. Ce 17 mai a-t-il été une réussite pour le comité Idaho ? Chaque année nous fait avancer un peu plus. Cette année, 70 pays participaient, dont les îles Fidji, le Burkina Faso, Trinité-et-Tobago etc. La mobilisation au niveau international a permis de toucher plus de 200 millions de personnes, donc le bilan est plutôt positif. Quelles actions concrètes ont été permises grâce au 17 mai ? Nous avons obtenu que la directrice générale de l’Unesco, Irina Bokova, fasse une déclaration, le 17 mai, sur les questions LGBT, ce qui est une première historique. C’est d’autant plus important que cette institution touche de nombreux pays réfractaires sur ce sujet. Autre avancée importante à l’Organisation internationale du travail (OIT) : nous avons obtenu…

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