Affaire Frêche: Jean-Luc Romero s’étonne que l’UMP, parti de Christian Vanneste, donne des leçons au PS

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Si dans la communauté LGBT, le rapprochement a très vite été fait entre les "cas" Frêche et Vanneste, il ne semble pas venir à l'esprit des responsables politiques de droite comme de gauche.

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Depuis quelques jours, le conflit enfin consommé entre le Parti socialiste et Georges Frêche fait les délices de l’UMP, embarrassée par la relaxe de Dominique de Villepin dans l’affaire Cleastream et par les propos controversés du maire de Franconville, Francis Delattre, sur Ali Soumaré, tête de liste PS en Val-d’Oise. Pourtant, si dans la communauté LGBT, le rapprochement a très vite été fait entre le « cas Frêche » au PS et le « cas Vanneste » à l’UMP, il ne semble pas venir à l’esprit des responsables politiques de droite comme de gauche, ni des journalistes des médias généralistes. Un peu comme si des propos homophobes, même répétés, n’avaient pas la même gravité que des propos racistes (on pourrait d’ailleurs aussi remarquer que des propos racistes émanant de la droite n’ont apparemment pas la même gravité que lorsqu’ils sortent de la bouche d’élus de gauche, comme l’ont montré Brice Hortefeux ou le site…

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