Posté sur la communauté: De la virilité des lesbiennes, par Septembre
Après avoir exploré la notion de communauté, la yaggeuse Septembre se penche sur la virilité des lesbiennes, ou en tout cas sur la sienne (mais nombre de lesbiennes se retrouveront dans son texte, comme l'attestent les commentaires sur la communauté).
Après avoir exploré la notion de communauté, la yaggeuse Septembre se penche sur la virilité des lesbiennes, ou en tout cas sur la sienne (mais nombre de lesbiennes se retrouveront dans son texte, comme l’attestent les commentaires sur la communauté). Le titre d’origine du post est Who-man I ?, jeu de mots sur « man » (homme) et sur « Who-Im« , le widget de messagerie instantanée de la communauté Yagg (les intertitres sont de la rédaction). Who-man I ?, par Septembre Les expressions ne manquent pas pour associer la lesbienne à une créature virile : « garçonne », « garçon manqué », « hommasse », « anandryne », « camionneuse », on trouve des traces de testostérone dans pas mal de qualificatifs. La lesbienne est, selon les a priori les plus répandus, une femme qui a dit non aux artifices de la féminité ce qui, soit dit en passant, suffit souvent pour la rendre condamnable. La preuve, Jeanne d’Arc a été réduite en grillade parce qu’elle…
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