«Une femme iranienne»: Rencontre avec Negar Azarbayjani et Fereshteh Taerpoor

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«Une femme iranienne», l'histoire d'une rencontre inattendue entre une femme contrainte de faire le taxi à Téhéran et d'un homme trans' qui veut échapper à sa famille, sort le 13 mai au cinéma. Rencontre avec la réalisatrice et la productrice.

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Après avoir été projeté dans plusieurs festivals LGBT en France, mais aussi récompensé au festival Chéries Chéris en 2012 sous le nom de Facing Mirrors, le film Une Femme Iranienne sort demain au cinéma. À cette occasion, la réalisatrice Negar Azarbayjani et la productrice Fereshteh Taerpoor, qui ont co-écrit le scénario, sont venues présenter leur film dans plusieurs salles franciliennes et à Nantes. Yagg les a rencontrées. Comment avez-vous eu l’idée d’écrire cette histoire, celle de la rencontre entre Rana, une femme contrainte de faire le taxi pour rembourser la dette de son mari emprisonné, et d’Eddie, un jeune homme trans’ qui cherche à fuir sa famille pour partir à l’étranger ?Fereshteh Taerpoor : Parfois, on part du sujet pour aller vers l’histoire, mais parfois c’est l’histoire qui nous amène au sujet. Au départ, ce n’était pas notre but de faire un film sur les personnes trans’. Negar était venue me voir…

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