Être gay ou lesbienne au temps du nazisme [CNRS le journal]

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À quelques jours de la Journée nationale du souvenir des victimes et des héros de la déportation, un article à lire.

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« Le 70e anniversaire de la Libération est aussi l’occasion de commémorer les victimes de la persécution nazie, dont celles, longtemps oubliées, qui furent déportées parce qu’homosexuelles », souligne CNRS le journal, « site d’information scientifique destiné au grand public ». En Allemagne et ailleurs, des dizaines de milliers d’hommes (et beaucoup moins de femmes) furent incarcérés, internés, déportés pour homosexualité. Dans les pays non occupés ou « neutres », « c’est souvent dans la clandestinité que gays et lesbiennes poursuivent leur vie amoureuse ». À lire sur CNRS le journal, sous la plume de Stéphanie Arc, ex-vice-présidente de SOS homophobie et auteure d’Identités lesbiennes : en finir avec les idées reçues. Lire aussi Régis Schlagdenhauffen : « Nous pensions que seule l’Allemagne nazie avait persécuté des homosexuel.le.s mais c’est beaucoup plus complexe »

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