«Edmond était un âne», ou la volonté d’être soi-même [1.4]
Franck Dion, réalisateur du court métrage d'animation «Edmond était un âne», nommé aux César 2013, revient sur le thème central du film: l'identité.
Au départ, une banale histoire de harcèlement. Edmond est différent de ses collègues, il ne pense qu’à son travail, ne déjeune pas à la cantine. Les moqueries et taquineries dont il est la cible ne semblent pas l’atteindre, jusqu’au jour où une énième mauvaise plaisanterie lui révèle qui il est vraiment, à l’intérieur. Si le lecteur ne s’affiche pas, cliquez sur Edmond était un âne (version française) « Le thème de l’identité est le point central du film mais il est aussi question d’émancipation et de l’énergie quotidienne qu’il faut déployer pour faire valoir son droit à être celui ou celle qu’on est, explique le réalisateur Franck Dion dans un entretien publié le 1er décembre par le site 1.4. En écrivant le scénario j’avais en tête le courage et l’énergie que doivent déployer la majorité des personnes transgenres pour faire valoir leurs droits. » Nommé aux César 2013 et aux Canadian Screen…
Pour continuer la lecture de cet article :
Vous avez déjà un accès ?
- Mon dernier article sur Komitid
- France Télévisions condamné aux prud'hommes pour une affaire de harcèlement
- Décès du journaliste Frédéric Edelmann, co-fondateur de Aides et infatigable militant de la lutte contre le sida
- Jordan Bardella conteste des révélations de « Complément d'enquête » sur un compte Twitter anonyme
- How to become : 3 questions sur la revue « The Daughters of Darkness »