Le CIO crée une clause de non-discrimination pour les prochains JO
Des organisations de défense des droits humains veulent croire que la mobilisation populaire pendant les JO de Sochi a poussé le CIO à faire un geste.
Figurera désormais dans le contrat qui lie le Comité international olympique (CIO) à la ville hôte des Jeux une clause de non-discrimination, a fait savoir le service presse de l’organisation. Une nouveauté par rapport aux derniers Jeux d’hiver à Sotchi, où la Russie a été particulièrement critiquée pour ses lois discriminantes à l’encontre des personnes lesbiennes, gays, bies et trans’. Le CIO a lui aussi essuyé une pluie de critiques pour avoir menacé de sanctionner les athlètes qui feraient des déclarations politiques pendant les épreuves. « EXPÉRIENCE ACQUISE » Les nouvelles modalités entreront en vigueur à partir des Jeux de 2022, a indiqué le CIO aux villes candidates dans un courrier rendu public. Voici la clause à laquelle les villes organisatrices doivent désormais se soumettre : « La Ville et le Comité national d’organisation reconnaissent l’importance des Jeux et la valeur de l’image olympique, et s’engagent à ce que toutes les activités soient menées d’une façon…
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