Gay Games: «Au revoir Cleveland, bonjour Paris!» par Marc Naimark
Celui qui était encore il y a peu vice-président de la Fédération des Gay Games dresse le bilan des jeux de Cleveland, marqués notamment par un formidable accueil des habitant.e.s de la ville hôte.
La neuvième édition des Gay Games c’est fini. Le pari osé de la Fédération des Gay Games (FGG) qui en 2009 a préféré la candidature de Cleveland à celles de Boston et Washington était-il gagnant ? Pour la Fédération, c’est un oui massif. Il y a eu bien entendu des hics, des choses n’allant pas comme on l’aurait voulu. Le nombre d’inscrit.e.s était en deçà des prévisions, manque à gagner financier compensé on peut le croire par le formidable travail de recrutement de sponsors commerciaux et associatifs réalisé par le comité d’organisation. Les épreuves étaient en majorité bien gérées et les sportifs/ves ravi.e.s. Il y a eu des histoires passionnantes, comme cette grand-mère de 99 ans qui a établi un record du monde dans les 100m lors du meeting d’athlétisme. La visibilité des sportifs/ves trans’ n’a jamais été aussi forte, avec des médailles pour le dynamophile Kinnon McKinnon, le triathlète Chris…
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