JO de Sotchi: le sport… et rien d’autre

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«Cette loi existe, elle doit être respectée» a déclaré le président de la Fédération internationale d'athlétisme.

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Les réactions et prises de positions continuent, tandis que la pression internationale s’intensifie sur le gouvernement de Vladimir Poutine. Alors que Moscou accueille les championnats du monde d’athlétisme dès demain, samedi 10 août, de nouvelles voix se font entendre. « PAS DÉRANGÉS PAR DES PROBLÈMES POLITIQUES » Le président de la Fédération internationale d’athlétisme (IAAF), Lamine Diack (photo), s’est fendu hier d’une déclaration sur la loi anti-« propagande homosexuelle » russe et sur sa potentielle application lors des championnats : « Je n’ai pas l’impression qu’il y aura un problème. Je suis sûr que nous ne serons pas dérangés par des problèmes politiques. Je n’ai pas le moindre problème et je ne suis pas du tout inquiet. » Lamine Diack a insisté sur le fait que ce n’était pas le rôle de l’IAAF d’indiquer ce que les pays doivent faire ou non. « Certaines choses doivent être respectées, et d’autres ne doivent pas l’être. Cette loi existe, elle doit…

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