Jeff Opéra: «De l’opérette au mariage pour tous»

Publié le

En partenariat avec le blog Jeff Opéra, nous publions cette chronique où se mêle l'amour de l'opérette et l'envie de modernité. Deux choses pas incompatibles, n'en déplaise à certains.

Article Prémium

Je racontais l’autre soir à mon amie Aurore que le soir de Noël, lorsque j’étais enfant, il y avait toujours un vif débat à la maison sur le programme télévisé. Mes parents choisissaient généralement les variétés, mais c’était compter sans mon opulente grand-mère, qui débarquait le matin avec des cabas et des filets chargés de jouets, de macarons et de chocolats et qui, d’autorité, changeait de chaine pour regarder l’opérette. Lorsque la télé n’en jouait pas, une comédie musicale américaine faisait fort bien l’affaire. Dans son combat, elle pouvait compter sur mon indéfectible soutien, et pas uniquement parce que je louchais sur sa précieuse cargaison. Il faut dire que j’aimais bien, moi aussi, écouter et fredonner des airs d’opérette. Tandis que mes camarades de collège ne juraient que par Supertramp et les Pink Floyds, je me délectais tous les samedis de Musique légère, l’émission de la regrettée Sylvie Février. Et…

Pour continuer la lecture de cet article :

Vous avez déjà un accès ?

Identifiez-vous