PMA et GPA: une étude veut connaître leurs effets sur le développement des enfants

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Menée en Grande-Bretagne, aux Pays-bas et par Martine Gross et Olivier Vecho en France, cette enquête vise à recruter des familles homo- et hétéroparentales ayant eu recours à la PMA ou à la GPA.

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Les universités de Cambridge, Amsterdam, Paris Ouest – Nanterre La Défense et le CNRS s’associent pour une étude « Familles-PMA ». Menée en France par Martine Gross, sociologue, ingénieure de recherche en sciences sociales et auteure de plusieurs ouvrages sur l’homoparentalité, et Olivier Vecho, maître de conférence en psychologie, aux Pays-Bas par Henny Bos et au Royaume-Uni par Susan Golombok et Michael Lamb, elle s’intéresse aux familles homoparentales et hétéroparentales ayant recours aux techniques de la PMA et de la GPA. Cette étude, pour laquelle les chercheurs/euses cherchent des participant-e-s, vise à accroître les connaissances sur le développement de l’enfant et sur les relations familiales dans ces familles, mais aussi à élargir la compréhension du grand public et des professionnels de la santé, de l’enfance et de la famille sur les questions de PMA. La recherche permettra enfin d’apporter des éléments scientifiques pour l’élaboration des politiques familiales. OBSERVATIONS DE LA VIE QUOTIDIENNE DES FAMILLES…

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