«Le Monde fantastique d’Oz»: de l’émerveillement au cinéma

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Qu'est-ce qui nous fait encore pousser la porte d'un cinéma pour voir un film sur grand écran, plongé dans le noir, bien calé dans notre fauteuil?

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À l’heure où les images sont partout, tout le temps, sur tous les supports, banalisées, transformées, vite oubliées, qu’est-ce qui nous fait encore pousser la porte d’un cinéma pour voir un film sur grand écran, plongé dans le noir, bien calé dans notre fauteuil ? C’est un peu la question que se pose (et nous pose) Sam Raimi avec son nouveau film Le Monde fantastique d’Oz, depuis mercredi dans les salles. Adaptation du célèbre roman pour enfants signé L. Frank Baum en 1900 et prequel du cultissime film de Victor Fleming réalisé en 1939 avec Judy Garland, Le Monde fantastique d’Oz ne brille pas d’une inventivité folle en ce qui concerne son scénario. On est en terrain balisé. Oscar Diggs, illusionniste de cirque un peu minable, se fait passer pour le grand magicien que le pays d’Oz attend et devra affronter de méchantes sorcières bien décidées à lui barrer la route. On…

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