Ciné: «Des jeunes gens mödernes», retour sur les années Palace

Publié le

Le docu-fiction de Jérôme de Missolz nous fait revivre les grandes heures des «branchés» des années 80.

Article Prémium

Des jeunes gens mödernes, de Jérôme de Missolz, est dans les salles depuis hier, mercredi 8 août. Franck Finance-Madureira en avait fait la chronique pour Yagg alors que le film était présenté à la Quinzaine des Réalisateurs au Festival de Cannes en 2011. Nous publions à nouveau sa critique, suivie de l’interview d’Edwige Bellmore, l’une des figures du film. « DES JEUNES GENS MÖDERNES », RETOUR SUR LES ANNÉES PALACE Le cahier des charges de ce documentaire lorgnant un peu du côté de la fiction, aussi vaste soit-il, est, pour l’essentiel, plutôt rempli. Jérôme de Missolz a souhaité nous faire revivre les grandes heures des « branchés » des années 80, une bande extensible qui comptait de nombreuses figures du Paris d’alors dont Yves Adrien, chroniqueur à Libé, inventeur du terme « növo », symbole de cette ère post-punk. S’il s’est officiellement déclaré mort en 2001, c’est pour mieux renaître en 69 (à prononcer « sixty nine »),…

Pour continuer la lecture de cet article :

Vous avez déjà un accès ?

Identifiez-vous