Dans «Suicide social», Orelsan tape sur les homos mais c'est de la «fiction»
Le Chant des sirènes, nouvel album d’Orelsan, est dans les bacs depuis hier, et même si le jeune rappeur a changé de look, on ne peut pas dire qu’il ait changé de discours. Celui qui avait suscité une vive polémique en 2009, notamment auprès d’associations féministes, avec l’un de ses titres, Sale pute, aux paroles […]
Le Chant des sirènes, nouvel album d’Orelsan, est dans les bacs depuis hier, et même si le jeune rappeur a changé de look, on ne peut pas dire qu’il ait changé de discours. Celui qui avait suscité une vive polémique en 2009, notamment auprès d’associations féministes, avec l’un de ses titres, Sale pute, aux paroles violentes et sexistes, n’y va toujours pas avec le dos de la cuillère en 2011. « LESBIENNES REFOULÉES » Pour preuve le single Suicide social qui expose le flot de haine d’un jeune homme envers la société toute entière ou presque (les « employés de bureau », « la France profonde », les « nouveaux fascistes », les « jeunes moyens »…) avant que celui-ci ne se tire une balle dans la tête. Les homos ne sont pas oublié-e-s. Extrait : « Adieu lesbiennes refoulées, surexcitées /Qui cherchent dans leur féminité une raison d’exister/Adieu ceux qui vivent à travers leur sexualité /Danser sur des chariots ? C’est ça votre fierté ?/Les…
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