« Bliss », de Drew Barrymore: un pur bonheur
"Bliss" est jubilatoire. Un peu comme si Drew Barrymore avait réalisé exactement le film dont on avait envie.
« Bliss », en anglais, ça veut dire « bonheur », un bonheur absolu. Bliss, c’est aussi le prénom de l’héroïne du premier film éponyme de Drew Barrymore. En VO, c’était Whip It, qui avait un peu plus de corps, mais on comprend qu’en français « Le coup du fouet », ça passe moins bien, et ça fait trop Coup de torchon ou Le coup du parapluie, et tout de suite on s’égare. Bliss (Ellen Page, toujours aussi délicieusement baby butch) a 17 ans. Sa vie se partage entre le lycée, son boulot au restoroute local The Oink Joint (prononcez-le à voix haute, vous saurez ce qu’on y sert) et les concours de beauté auxquels elle participe pour faire plaisir à sa mère. Jusqu’au jour où elle tombe sur un flyer annonçant une compétition de roller derby. UN VRAI FILM D’EMPOWERMENT À première vue, le scénario respire le film de midinettes, mais Drew Barrymore a réussi…
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