Culte: « Blow Job » à la Cinémathèque française ou la fellation selon Andy Warhol

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Si vous culpabilisez de passer vos soirées affalé dans votre canapé devant des films Falcon vintage, et si vous avez succombé au Grand Monde d’Andy Warhol qui depuis un mois transforme le Grand Palais en galeries de portraits flashy (ah, Jean-Michel Basquiat qui prend la pose du David de Michel-Ange, délicieusement moulé dans un jockstrap…), […]

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Si vous culpabilisez de passer vos soirées affalé dans votre canapé devant des films Falcon vintage, et si vous avez succombé au Grand Monde d’Andy Warhol qui depuis un mois transforme le Grand Palais en galeries de portraits flashy (ah, Jean-Michel Basquiat qui prend la pose du David de Michel-Ange, délicieusement moulé dans un jockstrap…), filez à la Cinémathèque française assister vendredi 17 avril à une projection d’un portrait trop méconnu de Warhol : Blow Job. Les cinéphiles compulsifs qui se terrent dans l’obscurité de cette très sérieuse institution culturelle devraient en rester bouche bée (ci-dessus, les neuf dernières minutes du film). Pour ceux qui n’ont pas pris l’anglais en première langue et qui chercheraient le sens de ce mot sur le bout de leur langue, “blow job” ne signifie pas “le boulot du souffle” mais “fellation”. Et certains linguistes assurent que c’est notamment Andy Warhol qui a fait passer cette…

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