En Iran, 30 ans après la création de la République islamique, les gays et les lesbiennes risquent toujours la peine de mort

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Trente ans après sa création, la République islamique d'Iran est un des pays où la situation des droits humains est la plus terrible: droits fondamentaux bafoués, exécutions capitales en grand nombre, vagues d'arrestations d'opposants. L'homosexualité reste interdite et est même passible de la peine de mort. Appliquant la loi de façon la plus stricte, la […]

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Trente ans après sa création, la République islamique d’Iran est un des pays où la situation des droits humains est la plus terrible : droits fondamentaux bafoués, exécutions capitales en grand nombre, vagues d’arrestations d’opposants. L’homosexualité reste interdite et est même passible de la peine de mort. Appliquant la loi de façon la plus stricte, la République islamique d’Iran condamne toute forme de relation sexuelle en dehors du mariage hétérosexuel. Pour les gays et les lesbiennes, les articles 108 à 140 du code pénal iranien abordent en détail l’homosexualité et les peines encourues. La sodomie est un crime pour lequel les deux partenaires sont punis de la peine de mort. Le sexe entre femmes est lui aussi un crime puni de 100 coups de fouet, mais si la même personne est condamnée plusieurs fois, la peine peut aller jusqu’à la mort. À plusieurs reprises ces dernières années, l’International Gay and Lesbian…

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